Kyaran VS les Médecins crétins! [Uruha]

Kyaran se réveilla dans un lit à barreaux aux draps blancs qui puaient la mort et le désinfectant. Repoussant les couvertures au loin, le jeune homme tenta de se redresser pour s'extirper de cet prison blanche et déprimante. L'horloge sur le mur lui indiqua qu'il était resté inconscient pendant trois heures. Machinalement, il regarda la pièce qui l'entourait et vit un autre couchage non loin. Uruha y dormait profondément, les bras bandés et pansés à de ombreux endroits. Kyaran se leva, prit ses vêtements qui étaient posés sur la chaise et chancela. Sa vue se brouillait de temps à autres et son flanc le faisait souffrir. Un type entra et lui ordonna, l'air paniqué de retourner bien sagement se coucher et de se reposer. Qu'il avait fait une graaaave overdose et que sa famille avait été prévenue. Il le regarda de haut et lui tira la langue, d'un air tout à fait gamin, marchant droit vers cet imbécile pour lui régler son compte.

"Bordel! pourquoi vous les avez appelés?!"

L'autre renchérit et continua de dresser le bilan d'une voix mécanique et sans timbre. Il connaissait son sujet le bougre!

"Votre foie est dans un état innommable. On vous a fait un lavage d'estomac -avec tout ce que vous aviez ingéré, même si vu l'état dans lequel vous êtes, vous devez avoir l'habitude...- mais je vous conseille de ne plus jamais boire une seule goutte d'alcool. Et renoncez à vous droguer. Vous brûlez la chandelle par les deux bouts mon petit... même, je ne vous donne pas plus de..."

"TA GUEULE!"

Kyaran tremblait mais se fichait bien de ne pas tenir sur ses jambes. Sa main se porta à sa ceinture et il dégaina son arme. Comme toujours il défendrait ses intérêts en écrasant ceux qui étaient sur son chemin. Ce mec ne savait pas son malheur...

"Maintenant, vous allez gentiment vous POUSSER et me laisser SORTIR!"

uruha avait du passer un temps incommensurable dans le coma . quand il ouvrit les paupieres il était vider , un grand trou noir ce situai quelque part dans une chambre blanche . une chambre d'hopital , d'hopital comment avait-il fait pour avoir attéri la et en trentes seconde tout lui reviens . le sang , le cutter et kyaran . kyaran cet eleve étrange mais totalement sympathique . apres une bonne demi heure dans la chambre il avait assez recupere pour trainer dans les couloirs de l"hopital . en traversant le couloirs blanc à l'odeur de désinfectant ,il retrouvai des monstre de son passé agir comme des fantome qui prenait possetion des lieux . soudain ,la main tranquille d'un medecin vient le reveilier brusquement de son délire . en moins de deux heures uruha avait réussi à se faire aider et droguer au calmement . il demanda au jeune medecin de lui montrer la chambre de kyaran . arriver apres un couloir ou deux emprienter calmement . uruha était robuste car pour etre aussi actif apres si peu de temps et une pref ou deux ,les gens normaux reste encore au lit car il sont tros faible . arriver devant la porte d'entre du chambare se fesait drainer .

"kyaran -kun vous allez restez au lit temps que votre sensei (qui n'est d'autre que lui) ne vous en donne l'ordre ! "

le medecin envoya son college broutté de l'herbe allieurs en ronchonnant . avant de rester devant la porte pour surviellié .

" bon esque ca va ? "

L'autre essaya de nouveau de le convaincre de regagner son lit. Uruha qui s'était faufilé hors de la pièce était aux abonnés absents et Kyaran renonça à cherche du soutien. Le médecin lui désigna le lit, autoritaire. Il remonta la barrière et lui installa une perfusion. Satisfait d'avoir réussi à faire valoir sa domination sur ce territoire triste qu'était l'hosto. Le sous-chef des Kiras grogna, attendit qu'il soit sorti et se mît en devoir d'arracher l'aiguille qui le maintenait prisonnier. Du sang, vite absorbé par les draps. Et plus rien. Son ventre lui faisait toujours mal. Une infirmière entra, éteignit la lumière en pensant qu'il dormait et discuta quelques temps sur le pas de la porte, l'air préoccupé. Il saisit quelques mots au vol mais rien qui l'intéressait. Voilà. Plus personne. Kyaran resta calme et prit son automatique sur la table pour le monter, le démonter un nombre incalculable de fois. Le cliquetis familier lui donna de l'assurance. Il se redressa, ignorant ses tripes qui semblaient vouloir remonter en sens inverse et se mit assis au bord du lit. Il avait du déclencher une alarme car aussitôt, un de ces oiseaux de mauvaise augure rappliqua sur le champs, alluma les plafonniers et paillant qu'il fallait immédiatement qu'il se recouche. Cette fois ci, le jeune homme se leva et toisa l'importun de toute sa taille, fulminant de rage.

"Mon petit, vous devriez vraiment prendre du repos..."

Encore cet idiot

"TA GUEULE ET JE SUIS PAS TON 'PETIT'! EXTRAIT DE BOUGRE DE CRÉTIN ATOMISE!"

Sur ces entre-faits, Uruha rentra et vint rajouter son grain de sel, ajoutant par la même occasion la goutte d'eau qui fît déborder la hain de Kyaran. Pauvre de ses deux là, leurs tympans ne seraient plus qu'un tas de chair molles et sanguinolentes que le Kira en aurait fini.

"TOI AUSSI TU TE LA FERME!"

Il dégaina, visa de nouveau le médecin exactement comme tout à l'heure et montra les crocs. Une balle fusa et vint s'encastrer dans le mur. Kyaran se tourna vers son sensei pour lui parler avec tout le respect qu'il pouvait trouver.

"Comment veux-tu que ça aille? ce mec me dit que je vais crever et que je ne dois plus boire. Ils me séquestrent ces chieurs patentés! je ne veux pas rester là! et je ne resterais pas là jusqu'à la nuit, tu peux en être sûr!"

Il alla tranquillement vers sa veste encore sur le lit, évitant le type pétrifié qui tremblait comme une feuille, il lui sembla même qu'une légère odeur d'urine montait dans cette pièce si charmant et fouilla les poches, constatant avec un grand sourire que ces soignants étaient vraiment des cons professionnels...Pour s'envoyer une dose bien méritée qui le calma tout autant qu'elle lui tordit l'estomac.

"Boooon...C'est pas assez clair? DÉGAGEZ! J'en ai marre de ces enfants de salauds qui me maternent! c'est pas pour rien que j'ai buté deux de mes frères et que je me suis barré de chez mes parents! Vous n'êtes pas sérieux hein, vous en les avez pas appelés? -Tremblement navré du médecin-. S'ils rappliquent ici, vous êtes mort! compris? -tremblement d'affirmation- Vous, sensei, soyez gentil et restez, vous savez, c'est très éprouvant pour moi...soyez gentil, s'il vous plait..."

La voix de Kyaran s'était faite doucereuse et menaçante sans pour autant faire mine de l'attaquer.

apres avoir assiter à cette scene . uruha n'était plus étonner que ca de son comportement . a vrai dire il pensai meme à pire , repensant que un jour il avait ouvert les viennes de lui et de angelic une autre fille dans sa meme situations avait repient les murs de leurs prison riant comme de fous . il avait perdu tout sens du toucher pendant des semaines .mais malheureusement ,elle n'eut pas la chance de sortir vivante de la bas . et disons que les cobyaes devait apprendre un peu et donc il fit le moment ou on lui retira vivant les oragnes . il due regarder à en ne plus pouvoir , vomisent meme le peu de nouriture qu'il resevait . les cris étriengnant comment oublier de telle chose . les yeux perdu dans le vide tout en repondant à son eleve .

" d'accord kyaran ! moi non plus sinon je vais devenir malade "

sur ces mots le medecin qui était venu et qui n'avait pas pris la suite , s'approcha de uruha pour y déposser un baiser repondu avec un peu d'attente et un doux hochement .

"bon apra ca ! "

Uruha sembla quelques instants perdu dans ses pensées. Comme s'il tentait de s'échapper face à d'atroces et lointains souvenirs qui tenterais inlassablement de le rattrapper. Kyaran ne put s'empêcher d'admirer sa beauté de drogué éxangue, loin de tous espoirs et sans rien pour s'accrocher en attendant des jours meilleurs. Oui, le sous chef des Kiras avait d'étranges gouts et une notion de la beauté toute particulière. Pour l'instant, il allait devoir trouver un moyen de s'évader de ce lieu si déprimant. Il réfléchit à un moyen détonnant qui demanderait peu d'effort et porta son intérêt sur un des chariots chargés de médicaments qui trainait dans le couloir. Oui, il l'avait trouvé son moyen. Restait à faire débarrasser le plancher au crétin en blouse blanche. Pour cela, il avait bien sûr la méthode Kyaran garantie 100% balles volant en tous sens, cris sang et larmes où la 'diplomatie' où ce qui y ressemblait le plus chez le jeune homme. Il opta pour la dernière option et un sourire se peignit sur son visage.

"Dites Sensei, vous ne le trouvez pas mignon le petit interne qui vient de vous smacker là? il a un petit air de personnage de Dr House (Chase plus exactement pour les connaisseurs) pas dégueu'...On se le fait?"

Sa langue passa fugitivement sur ses lèvres à plusieurs reprises, suggérant que le sort du type en question ne serait pas enviable du tout. L'autre ne demanda pas son reste et battit en retraite, effrayé et effaré par les insinuations du décoloré. Si Kyaran lui mettait la main dessus un jour, c'en serait fini de la station assise pour un bout de temps, si vous voyez ce que je veux dire... Satisfait de son petit effet, le jeune homme s'assit sur le bord d'un des chariots et défit le frein de sureté. ça n'allait pas être hyper facile à manœuvrer dans les corridors étroits de l'hôpital mais ce serait marrant. Kyaran se releva, ses flingues à la main et donna une impulsion, mettant le fragile édifice en branle. La vitesse vint comme d'elle même et il vît voler les portes sur son passage.

"Sensei, si vous voulez vous tirer en rigolant un coup, soit vous grimpez, soit vous sautez par la fenêtre!"

On était au rez-de-chaussée, son dépressif de prof' de sciences ne risquait rien si par hasard il choisissait la seconde option. Durant les quelques minutes où Kyara resta devant là, attendant sa réponse, cinq membres du personnel étaient tombés, fauchés par les balles de ses pistolets mitrailleurs. La patience n'était pas son point fort et pour éviter de s'énerver après Uruha, il s'était défoulé sur eux. Au mauvais endroit au mauvais moment. C'était malheureux à dire mais c'était de leur faute à eux. Enfin, à bout de nerf et de patience, Kyaran donna le signal du départ sans se préoccuper si il y avait où non un passager. Il prit encore de la vitesse et négocia un virage, bousculant, écrasant, tuant et effrayant ceux qui avaient la malchance de se trouver en ces lieux sinistres. Bon, ils avaient de la chance, de toute manière, la morgue était toute proche! il ne risquaient pas de pourrir. Kyaran rigolait aux éclats, continuant sa mortelle course contre ses poursuivants. Eh oui, on tentait -vainement- de le rattraper. Les chances de mettre la main sur le bolide violet sans dommages étaient quasiment nulles et il ne s'en inquiétait pas outre mesure.

"BANZAÏÏÏ!!!"